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 Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.

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Laël J. Oridor
Laël J. Oridor
HIBOUX : 257
INSCRIPTION : 05/01/2011
PSEUDO : Lala
CREDITS : scarlet_breath

SO WEIRD
Y. O.: 19
STUDY: 5ème année
TALKING ABOUT:

Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.   Vide
MessageSujet: Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.    Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.   EmptyLun 14 Mar - 0:24


Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.   Sanstitre2kr
“ oridor laël jésus „

✐ « over all »


Laël Jésus Oridor. C'est la plus grande contradiction du monde. Oridor, cette grande famille touchée par la foi qui s'étend à travers le monde, tous les membres en sont soit homme de dieu, soit théurgiste. Il n'y a pas de famille plus pure et plus sainte, jamais ce nom n'a participé à tâcher l'histoire de sang, bien au contraire, elle y brille par sa vertu et la grande aide qu'elle a pu amener aux démunis. Tous les Oridor ont des prénoms en accord avec leur foi, Laël, en hébraïques, veut dire appartenant à Dieu et, Jésus, bien plus qu'être le prénom même du fils de Dieu, signifie Dieu sauvera. Laël appartient à dieu, c'est son objet, sa marionnette, sa création, celui qui, au moment demandé, devra sauver l'humanité. C'est ce qu'on lui a répété durant toute son enfance chéri, c'était l'enfant prodige, celui qui sauvera le monde de la souillure du diable. C'est ce que le jeune homme a continué d'appliquer après avoir lui-même succomber à la tentation. Ses prénoms lui impliquent de faire le bien, autant qu'il le peut. Laël vient de partout, née en Grèce, dans le monastère familial d'Athènes, il a été recueilli par des parents français, tout aussi pieux, puis, il a fauté, il a réduit tous les espoirs d'un monde, il a été envoyé en Écosse pour laver ses pêchés, l'ultime purification, qu'il n'a jamais reçu. Il a maintenant dix-neuf ans, dix-neuf ans de vie passée à prier et tenter de comprendre le tout puissant, être touché par la grâce puis la salir des plus affreuses façons qu'il soit aux yeux des autres. Mais Laël entreprend ce pour quoi il a été envoyé sur terre, sauver l'humanité, absoudre les pêchés du mal, purifier le monde à tout jamais en liant étroitement pour l'éternité le bien et le mal, les faire cohabiter en paix, n'en faire plus qu'un. C'est cette destinée qu'il s'évertue à accomplir depuis le quatre janvier mille neuf cent quatre vingt-douze, a exactement minuit, quand pour la première fois il s'est détaché de sa mère pour vivre par ses propres moyens. La naissance miracle que l'on attendait tant. L'enfant pur, sous toutes les coutures, même son sang est irréprochablement pure et noble, il n'y a que quelque excommuniés qui ont fauté au cours de l'histoire familiale, mais ils ont tout de suite perdue leur statut, ont été reniés et oubliés. On ne parle pas des fauteurs qu'on ne peut remettre dans le droit chemin, les brebis qui sont déjà dans le ventre du loup, on les oublit, on les raye, ce ne sont que des bavures de l'histoire qu'on se plait à effacer, qui n'ont pas besoin de servir d'exemple. Comme des expériences ratées qu'on cache aux yeux du monde et dont on ne parle pas. Il y a beaucoup de choses dont on ne parle pas dans cette famille. Les hommes doivent aimer les femmes, leur donner une descendance digne qui pourra maintenir la famille en vie. On ne doit pas être sale, on ne doit pas le faire pour le plaisir, se limiter aux stricts minimums pour avoir des enfants. C'est là que Laël a succombé à la tentation, le pêché de la chair, avec cet être si parfait, si irréel. Il ne l'a pas fait pour l'honneur et pour la descendance. Il l'a fait pour son propre intérêt, sans penser à sa famille. Mais Laël n'a jamais touché quelqu'un d'autre que celle qui lui a fait tourner la tête, celle qui failli tout lui faire perdre, il est tout de même chaste envers les autres, parce que, d'une certaine manière, son cœur est déjà pris et perdu à jamais.

✐ « IN MAGICAL WORLD, EVERYONE GOT HIS WHITE BUNNY »


L'enfant prodige entame sa cinquième année à Poudlard, en cinq ans, il a su se faire sa petite place, avec ses biscuits et malgré ses sautes d'humeur. En cinq ans, il a eu le temps d'apprendre des choses, notamment à manier sa baguette. C'est une énorme brindille d'une trentaine de centimètres, le prolongement de son bras, sa troisième main. Elle est fine et douce, faite dans un bois d'aubépine français des plus raffinés, composé d'un crin de licorne rousse, qui vit encore aujourd'hui en Alaska. Tout dans la baguette du jeune homme indique la pureté, autant de l'esprit que du corps. Tout chez lui ramène à la pureté, même son patronus d'une certaine façon. Il a été aisé pour lui de la matérialiser, des moments heureux, il en a vécu plus d'un dans son enfance, un seul de ces souvenirs a réussi à lui faire matérialiser son patronus. C'est un cygne noir, son envergure est effarante, il semble remplir tout l'espace, mais, bien qu'il brille de mille feux, l'on devine qu'il n'est pas parfaitement blanc, son pelage est grisâtre, tout en étant éblouissant. Dans ses ailes, l'on devine qu'il manque des plumes, elles sont comme à demis arrachées, son cou est fin, il semble brisé. Le patronus de l'enfant est toute une contradiction, tout comme lui, c'est un cygne, grand et resplendissant de mille feux, la pureté à l'état pur, mais c'est aussi un démon noir, un infirme en mauvais état qu'on ne veut soigner, décharné et déplumé, presque sans vie. Son épouvantard est tout autant intriguant, il représente l'inconnu, le vide, le néant, l'après. Il n'est rien, mais il est tout à la fois pour le sorcier, il représente ce qu'il ne sait pas et qu'il ne sera peut-être jamais, il lui rappelle qu'il est finalement comme les autres, un simple homme qui ne peut tout savoir et tout faire. Et ça le met hors de lui, de revenir à cette réalité brute alors que, pendant des années, on l'a élevé à bien plus que ça. Mais c'est sûrement parce qu'il le sait au plus profond de lui-même que, dans le miroir de rised, il se voit lui, tout simplement, heureux, avec une toque sur la tête, l'insigne des drapeaux du monde entier sur son tablier blanc. Un pâtissier reconnu, apprécié, sans tous ses tatouages sur son corps si fragile. Juste un pâtissier. Mais le jeune homme peut très facilement aspirer à d'autres métiers, avec son niveau scolaire plus qu'excellent, c'est le genre d'élève à fournir le moins de travail possible, juste le minimum, mais à toujours avoir de bonnes notes. Et ce, pareil dans toutes les matières, cela énerve grandement la plupart de ses camarades qui se brisent à travailler tous les soirs, mais ce n'est qu'une histoire d'éducation, depuis tous petit, l'élève modèle a appris à tout retenir dans sa tête, être attentif et retenir ce qu'on lui dit, une lecture de son parchemin lui permettant de toute lui remettre en mémoire. Il n'y a rien de plus simple, durant les cours, il ne faut le déranger, il écoute, il retient, et ce, dans tous les cours, il n'a pas vraiment de magie préférée, il connait déjà tout du théurgisme, étant élevé comme le futur associé d'un ange, mais, il a fini par pratiquer le démonisme. C'est sa spécialité, là où il est tout simplement le meilleur. Peu de gens le savent, mais le petit sorcier est déjà associé à son démon, sa succube, celle qui l'a fait sombrer, celle qui l'aidera à atteindre son objectif. Laël ne pratique presque aucune autre magie, mais il n'utilise pas sa succube en public, les autres ne comprendraient pas. Elle s'appelle Lavlah, fille directe de Lilith, la reine des succubes. Le démoniste la garde toujours près de lui, c'est une des choses qu'il chérit le plus au monde, mais il l'a maudit aussi. Elle peut se rendre invisible aux yeux des autres, en un clignement de paupières, ou bien se transformer en un chat des plus étranges, aux yeux maléfiques. Elle peut-très bien parler à l'aigle, lui susurrer des abominations à l'oreille ou s'introduire dans son esprit pour le mener à ses fins. C'est une relation compliquée. Le démoniste contrôle sa succube, parfois la succube contrôle son démoniste, ils sont rarement d'accord et n'ont pas vraiment une relation d'associé. Tous les autres démonistes ou les rares informés de cette alliance sont tous d'accord : c'est une erreur, ces deux là n'auraient jamais dû se connaître, encore moins s'associer. La vie est bizarrement faite. Mais l'élève brillant, qui a trouvé sa place à serdaigle, n'écoute pas les autres, rarement. Avoir un démon, même si jeune, n'est pour lui pas un don, ni une providence, encore moins une malédiction. Il ne considère pas non plus son intelligence comme un don, on lui a appris à être aussi vif et critique d'esprit. Non, le don du petit aigle, c'est celui qu'il utilise dans les cuisines, il a un don de pâtissier, tous les élèves de Poudlard pourront vous le dire.


✐ « I'VE GOT A POKEMON IN MY POCKET »

La réputation de l'aigle n'est pas des plus aisés à comprendre. Dès sa première année, et de par la vie qu'il a pu vivre auparavant, il a de suite su se faire accepter, si dans le destin qu'on lui prédestinait il aurait dû être cet homme porteur de bonne parole qu'on fait souffrir, il n'en fut rien. Lala, le petit Lala qui semblait si fragile mais qui, pourtant, insufflait tant de respect, tellement innocent, tellement adorable. C'était une grande brindille qui semblait tellement éphémère que même les plus corrompus de serpents ne pouvaient s'empêcher de bien l'aimer. Le petit Laël, c'était un peu la peluche de château qui mettait tout le monde d'accord, le doudou que tout le monde voulait avoir. Doux et compréhensif doté de précieux conseil, un peu marginal sur les bords, totalement croyant mais pourtant pas du tout étouffant avec sa foi. Loin de là, le bleu et argent à toujours su tirer des enseignements de ce qu'on lui avait appris, sans pourtant en refaire les erreurs, jamais l'aigle n'a tenté de convertir à son dieu, son père tout puissant un homme qui ne l'aima point. Tout le monde aimait ce bout de chou bizarre, puis vint sa deuxième année. L'aigle était exactement le même, adorable, toujours une pâtisserie sur lui, il allait d'ailleurs souvent à la cuisine du château pour tenter de nouvelles recettes qu'il adorait faire goûter à tous ses camarades. Mais parfois le gentil Lala laissait place à un homme que personne n'avait connus ou même soupçonné jusque là, souvent violent, ce grand gringalet n'hésitait parfois pas à jouer de ses poings trop faible sans qu'on ne le provoque et, quand un élève trop avisé tentait de le provoquer, l'aigle ne réagissait pas mal, sa sagesse revenant au galop. Il semblait y avoir deux Laël, les élèves du château, les professeurs même s'y perdaient. Mais on pardonnait tout à l'aigle, tellement adorable, on oubliait tous ses méfaits devant son petit sourire si faible. Et, après chacun de ses actes violents, le jeune homme était rongé par les remords, les regrets, la honte. On ne pouvait lui en vouloir, et, bien vite, dans les couloirs, a commencé à courir un bruit... Il y aurait deux personnes dans la tête de l'aigle le plus apprécié de l'école, ce petit garçon si silencieux remplis de sagesse contracterait en fait une schizophrénie. Les bruits de couloirs étaient bien loin du compte, totalement faux, mais l'on n'en parla jamais à Laël, et il n'avait jamais rien fait pour les démentir. L'aigle avait un secret, un secret à cause duquel il avait beaucoup perdu, notamment une part du respect de sa famille. Il voulait attendre le moment propice pour le révéler au monde, il voulait attendre que les autres puissent le comprendre. Ce n'était pas un don, c'était bien plus que ça. Le don de Lala, tout le monde le savait, c'était la cuisine, la pâtisserie en particulier. C'était d'ailleurs son envie la plus folle, bien au-delà de réaliser la tâche qu'on lui avait accordé, supplier d'accomplir, avant de réunifier le monde dans la paix, l'enfant prodige voulait être pâtissier. Il le veut toujours, c'est son envie la plus forte, si, au début, on a ri de lui, c'était impossible qu'un Oridor veuille autant s'éloigner de sa foi pour faire un tel métier, aujourd'hui, on le prend au sérieux. Laël sait cuisinier, l'aigle fait des pâtisseries extraordinaires. C'est en partie grâce à ça qu'on l'aime, qu'on le pardonne aussi facilement, grâce à son talent innée. Il fait d'ailleurs beaucoup de petites viennoiseries pour son équipe de quidditch préférée, celle des serdaigles, dont il est la fidèle mascotte depuis sa première année à Poudlard. C'est d'ailleurs en s'empiffrant des petits gâteaux qu'il amène partout, dont à son équipe, qu'on lui a donné son surnom qu'il trouve le plus embarrassant : le glouton. Pour un homme au mode de vie qui se doit des plus simples, tout comme le doivent être ses vertus, Laël n'aime pas ce surnom issu de sa gourmandise, encore un défaut, un de pêchés capitaux qui plus est. Mais l'aigle n'y peut rien, il est fait comme ça, c'est comme quand on le surprend en train de dormir, avec son doudou unique et adoré, un vieux cheval gris, auquel il a coupé la crinière quand il a petit. Le cheval n'a pas souffert, mais il est usé par le temps, le bleu et argent aime bien le caler contre son coup, alors qu'il s'endort en étoile et, malgré le fait qu'il bouge beaucoup durant son sommeil, le petit cheval ne bouge jamais de place. Le jeune homme dort souvent dans le plus simple des appareils : en sous-vêtements, il n'aime pas être nu, mais il n'aime pas non plus être vu sans rien sur le dos, s'il n'a aucun piercings, chose qu'il trouve plus que débile, pourquoi donc se trouer la peau avec tous ces bouts de métal ? Cependant l'enfant béni est recouvert de tatouages. Personne ne sait pourquoi et, ceux-ci ne correspondent pas tous au profil d'un homme de foi qu'est le petit aigle, loin de là. Et, parmi tous ces tatouages énigmatiques, presque personne ne l'a remarqué, mais l'un d'eux est différent, plus encrée dans la peau de l'aigle, plus indélébile, un tatouage fait d'une encre spéciale qui le brule, le dévore, le pervertis... C'est sa marque de démoniste. Il prie tout les jours la lumière qui donne une raison à son existence pour que les autres ne le découvrent pas. Mais ce n'est pas sa plus grande honte, si le petit Lala si innocent et qui semblait si pure est démoniste, il a fait bien pire selon lui. Il est associé à l'espèce de démons la plus vil et terrible qui soit, les succubes. La sienne l'a déjà fait succomber maintes fois à ses charmes, elle injecte tous les jours un peu plus de poisons dans ses veines. Laël a commis le pire des pêchés, il y a pris du plaisir, il a violé les règles. Il a commis le pêché de chair, il le commet encore souvent. Sa honte perpétuelle le fait douter de sa plus grande fierté, son appartenance à la grande famille des Oridor, son statut qu'elle lui a donné comme on donnerait à un enfant une tétine. Laël, le sauveur. Il en est fier, c'est sans doute une des choses dont n'importe qui se vanterait devant les autres, mais l'enfant brisé n'aime pas en parler. Comme pour son démon. Les gens ne comprendraient pas. Seuls les Oridor le savent, et les amis privilégiés, qu'il doit être le sauveur, que malgré tout, encore, il le sera. Et tout ça, malgré ses pêchés, malgré ce que certains pensent être son hérésie, malgré la couleur de ses chaussettes, qui sont souvent colorés, rayés de toutes les couleurs, une profusion, un envahissement de couleur. Si personne ne lui en veux pour ses chaussettes, pourquoi ferait-on plus attention à ses écarts de comportement ? Le grand garçon fragile n'est pas une brebis égaré, c'est un berger qui vient de découvrir un nouveau chemin. D'ailleurs, il n'a jamais demandé à être le sauveur de qui que ce soit, il n'a jamais demandé à être extraordinaire. Être un simple sorcier lui aurait suffit, vivre simplement dans sa petite église, absoudre les gens de leurs pêchés, accepter leurs confessions, tout cela lui convenait, il ne voulait pas plus. C'est ce qu'on attendait de lui qu'il l'a fait sombrer. Petit, avant de savoir cuisiner et de tomber amoureux de la pâtisserie, il voulait être un grand maître pokémon, parcourir le monde à la recherche de nouveaux amis, avec pleins de petites et grosses bestioles qui l'aimeraient pour ce qu'il était, gros dragon ou petit cheval qui ne voudraient de lui qu'il soit simplement ce qu'il est, sans rien demander de plus. Mais le petit Laël ne voulait surtout pas être un de ces putains de nécromancien, ces chiens inhumains qui osent bouleverser l'ordre de la nature que dieu même à instauré, qui fouillent dans les cimetières, profanent les tombes et les dépouilles, osent déranger une âme en paix. S'il y a bien deux choses que Laël ne supporte pas et qu'il n'a jamais voulu devenir, c'est bien un nécromancien ou un espagnol. Il ne sait pas pourquoi, c'est viscéral. Une mauvaise habitude qu'il a et qu'il ne veut pas corriger, détester autant ces deux catégories individus. Mais sa plus mauvaise habitude, c'est de toujours avoir de la nourriture sur lui, sa pire manie étant de la manger, à n'importe quelle heure, à n'importe quel endroit. Les gens sont habitués à voir cette petite brindille sans défense grignoter des biscuits, mais ils n'expliquent pas le fait qu'il ne prenne pas un kilo, Lala n'est pas d'une maigreur effarante, mais beaucoup pense qu'il a un problème avec la nourriture. Ce qui est totalement faux, le petit Lala a juste une morphologie qui fait qu'il ne grossit absolument pas d'un gramme mais, maintenant qu'il est grand, on a l'impression qu'il est malade. D'une maladie qui le tue, incurable. Mais l'aigle arrive à afficher un petit ventre rondelet après avoir repris trois fois de son plat préféré, qu'il ne mange souvent qu'une fois par an : la dinde aux marrons. Il n'a jamais réussi à faire ce plat, mais il aime tellement ça, il pourrait imploser après en avoir trop mangé qu'il en redemanderait encore. Mais, si l'on demandait au jeune homme de choisir entre son plat préféré et son objet fétiche, il ne pourrait se décider. C'est une petite croix en bois, finement sculpté dans un bois grossier. Elle est infiniment vieille, une légende raconte que c'est un des apôtres qui l'aurait sculpté et fait porter par Jésus lui-même. Personne ne sait si cela est vrai, mais, cette petite croix est dans la famille depuis des générations et a toujours été portée par les grands leaders. Il était donc normal qu'elle revienne à Laël. Et que cette croix ait été porté par le messie ou non, l'aigle s'en fiche, « tout ce que je suis me vient de Dieu » c'est sa phrase préférée, il l'a dit lors des grandes occasions, elle vient d'un homme que les noirs ont souvent cru prophète de leur peuple, Bob Marley. C'est un cas en cours d'étude dans la famille, prophète, touché par la grâce, fou ? L'enfant n'y porte pas beaucoup d'attention, son envie du moment, bien loin de tout ça, c'est d'aller se rouler dans l'herbe, de rire comme un enfant, encore innocent et pas au courant de l'avenir fumeux qui l'attend. Sa plus grande envie, c'est de revenir en arrière.


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Laël J. Oridor
Laël J. Oridor
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MessageSujet: Re: Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.    Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.   EmptyDim 27 Mar - 15:07

✐ « WE ARE WHO WE CHOOSE TO BE »


cette fiche est une fiche qui doit être rédigée sous forme de rp. vous devez écrire au minimum trois anecdotes de vie sur votre personnage, en essayant de faire apparaitre son caractère, ses influences, et nombre de détails à propos de son histoire personnelle, afin de nous aider à mieux le cerner. le nombre d'anecdotes est illimité, mais tâcher de finir votre fiche dans les temps. nous rappelons que votre histoire doit faire au minimum 1000 mots en tout.

✐ « I'M SO GLAD TO MEET YOU »

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merci de ne pas poster à la suite Pureté&Perversion. L'histoire d'un biscuit trop cuit.   403652
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