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 written in the stars -- elliot McQUEEN

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Elliot A. McQueen
Elliot A. McQueen
HIBOUX : 3
INSCRIPTION : 11/03/2011
PSEUDO : poulet .
CREDITS : Cristalline

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MessageSujet: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 11 Mar - 21:45


written in the stars -- elliot McQUEEN Wre052
“ elliot alec mcqueen „

✐ « over all »


NOM McQueen
PRÉNOM(S) Elliot Alec
NATIONALITE Britannique
AGE 18 yo.
DATE & LIEU DE NAISSANCE Londres , le 31 Octobre 1992
PURETÉ DU SANG Mêlé
ORIENTATION SEXUELLE Bisexuel

✐ « IN MAGICAL WORLD, EVERYONE GOT HIS WHITE BUNNY »


ANNEE D'ETUDE 4ème
BAGUETTE 24cm - bois de rose - crin de licorne
PATRONUS un lémurien
ÉPOUVANTARD une plaque d'égout d'où sort un alligator
MIROIR DU RISED père de famille - journaliste sorcier reconnu
NIVEAU SCOLAIRE bon
MAGIE PRÉFÉRÉE neutre
SPECIALITE PRÉFÉRÉE magie verte
MAISON SOUHAITÉE serdaigle
DONS voyant

✐ « I'VE GOT A POKEMON IN MY POCKET »


RÉPUTATION Plutôt transparent - bon élève .
FUTUR MÉTIER DESIRE Journaliste sorcier
ÉQUIPE DE QUIDDITCH PRÉFÉRÉE les Vagabonds de Wigtown
SURNOM EMBARRASSANT Lilou
DOUDOU FAVORIS un des martiens à trois yeux de Toy Story
POSITION ADOPTE PENDANT LE SOMMEIL position fœtale
TATOUAGE/PIERCINGS ? aucun
PLUS GRANDE HONTE ne pas avoir pu sauver sa mère alors qu'il en avait eu la vision
PLUS GRANDE FIERTÉ ses résultats scolaires


COULEUR DE SES CHAUSSETTES noires ; blanches ; grises
QUI AURAIT-IL VOULU ÊTRE/NE PAS ÊTRE ? il aurait voulu être quelqu'un d'autre
MAUVAISE HABITUDE pleure dans son lit avant de dormir
MANIES remettre ses cheveux "en place"
PLAT FAVORI tartiflette
OBJET FÉTICHE son plaroïd offert par sa mère
PHRASE PRÉFÉRÉE dream on , dream until the dream come true
ENVIE DU MOMENT se trouver un / une petit(e) - ami(e)

✐ « WE ARE WHO WE CHOOSE TO BE »



Il y a des jours où on aimerait pouvoir juste disparaître. Faire corps avec le sol, les murs ou la chaise sur laquelle on est assis. Elliot ne rêvait que de ça. Les repas de famille étaient de ces évènements qu’il s’ingéniait le plus souvent à éviter mais il lui arrivait de se soumettre à certaines exigences pour ne pas éveiller de soupçon sur l’opinion très basse qu’il avait de ses parents. Assis sur une chaise inconfortable avec toute la dignité qui sied au fils unique d’une famille déchu, il tentait de ne pas faire attention au spectacle grotesque qui se déroulait devant lui. En vain, bien entendu. La fortune dilapidée avec soin par la mère ne permettait pas à la famille de vivre sous un toit dont ils pourraient être fiers. Reclus dans un appartement miteux de la banlieue londonienne, Elliot devait se contenter d’une chambre étroite qui servait accessoirement de bureau et de salle de gym pour un père qui avait sensiblement pris du poids avec les années. Néanmoins la lettre qu’il avait reçue durant l’été le conforta. Il allait pouvoir partir et loin, dans un autre monde, un monde auquel ces aberrations n’auraient plus jamais accès.

Tournant légèrement sa tête sur sa gauche, il aperçoit son paternel, se débattant avec une cuisse de poulet acheté le midi même sur le marché du coin. Une serviette grasse coincée en le col de son t-shirt sale et de son cou débordant, il ressemblait plus à un porc qu’à un être humain. Ses doigts courts mais épais glissaient sur la peau luisante du pauvre animal décédé alors que sa mâchoire de goret se plantait dans la chair blanche. Ses paupières étaient mi-closes. La moustache en désordre tremblait de nervosité au-dessus de lèvres et de dents noircies par la cigarette. Un léger bruit s’échappait de sa gueule alors qu’il avalait une nouvelle bouchée. Une sorte d’orgasme alimentaire qui donnait des nausées à sa progéniture qui commençait réellement à douter de sa provenance.

Sur sa droite, il avait le plaisir de découvrir sa mère dans toute sa splendeur. Une beauté troublée et flétrie par la compagnie de l’être abjecte assis à l’autre bout de la table. Distinguée, elle portait sa serviette de tissu d’un blanc immaculé sur ses jambes fines, à moitié dénudée. Elle se tenait droite, ses couverts entre ses doigts effilés et élégamment vernis de rouge. L’auriculaire de chaque main était légèrement relevé lorsqu’elle saisissait son verre de vin de mauvaise qualité. Ses bras de porcelaine épousaient à la perfection les courbes de son buste habillé d’un chemisier terne et délavé. Ses longs cheveux bruns étaient retirés en un chignon presque parfait qui laissait néanmoins quelques mèches rebelles tomber sur ses épaules affaissées. Elle devait avoir été magnifique.

Elliot se leva de table, repoussa sa chaise d’un geste totalement maitrisé et attrapa son assiette vide et ses couverts. En se dirigeant vers la cuisine, il eut une sensation étrange, comme un vertige. Il se stoppa un instant, secoua sa tête puis esquissa un nouveau pas. Un éclair blanc l’aveugla l’espace de quelques secondes puis il voyait de nouveau. Il se retourna, saisit d’un mauvais pressentiment. Une odeur prononcée de fer lui parvenait, il s’avança prudemment, faisant le tour de la table et aperçut la silhouette de son père, penchée sur un corps inanimé mais surtout ensanglanté. Le visage carnassier de l’homme à genoux se tourna vers le jeune garçon alors qu’il tentait péniblement de lever son surpoids. Les yeux de Narcisse se posèrent sur ce corps méconnaissable, celui de celle qui lui avait donné la vie et qui le protégeait depuis près de quinze longues années. Il reculait, mais avait l’impression de rester sur place comme fixé au sol. Un bruit sourd de vaisselle brisée le tira de sa torpeur. Il baissa la tête et admira ses frasques. Une illusion, ce n’était qu’une image furtive. Des sueurs froides le long de son dos lui faisaient tout de même croire à autre chose. Son père cria, une fois de plus, s’enquérant sur qui avait bien pu lui donner un fils aussi maladroit comme unique enfant. Sa mère se leva, s’accroupit à ses côtés et l’aida à ramasser les débris. Elle retira précipitamment sa main, la portant à sa bouche. Elliot l’attrapa, inquiet et découvrit une coupure au creux de cette dernière. Le sang s’en libérait sans réelle abondance, mais suffisamment pour lui procurer un nouveau vertige.


Il neigeait. Décembre avait commencé il y avait à peine deux semaines que déjà les rues étaient blanches. Elliot traînait péniblement sa valise derrière lui, se maudissant d’avoir encore ramené trop de vêtements. Il ne restait que quelques jours, histoire de passé Noël en famille pour faire plaisir à sa mère. Elle était la seule qui le comprenait, elle était comme lui. Son père n’était qu’un amas de cellules graisseuses inutiles. Un gâchis d’espace. C’était une sorcière douée mais elle n’avait malheureusement pas choisis son moldu de mari. Prétendu de bonne famille, le mariage arrangé c’est rapidement révélé être un véritable piège pour l’aristocrate française qu’elle était. Il patienta dans le hall de la gare de King’s Cross pendant quelques minutes mais ne la voyant pas, il décida de prendre un bus qui le ramènerait dans son quartier. Les flocons s’amoncelaient dans sa tignasse brune décoiffée par le temps passé contre la fenêtre du Hogwart’s Express. Il entra dans le bus, coinça sa valise dans un coin où elle ne gênerait pas puis se trouva une place assise, juste à côté d’un radiateur. Il sortit de son sac son appareil photo pour se remémorer les premiers mois passés à Poudlard. C’était une nouvelle passion qu’il s’était découvert il y a peu, lorsque sa mère, encore elle, lui offrit ce magnifique appareil pour son 15ème anniversaire.

Le bus le déposa au coin de sa rue. La pensée de la cage d’escaliers le fatigua avant même qu’il ait posé un pied sur la première marche. Elliot attrapa sa valise par une poignée, prit une grande respiration et s’attela à gravir les soixante-dix marches qui le séparaient de leur appartement. Il fit une pause entre le troisième et le quatrième étage avant de monter la dernière dizaine de marches qui lui restaient. Une fois devant la porte, il fouilla dans ses poches à la recherche de ses clés qu’il finit par trouver au fin fond de son sac entre une moitié de sandwich et un livre de cours. Il ouvrit la porte d’un coup d’épaule et fit entrer sa valise.

    Elliot – « C’est moi… Ne vous inquiétez pas, je ne me suis pas fait enlever. C’est gentil d’être passé me chercher à la gare… »


Il ne fit pas attention de prime abord au silence morbide qui régnait. Elliot alla déposer ses affaires dans sa chambre, toujours distrait par ce qu’il ferait à la rentrée, lorsqu’il se rendit enfin compte du manque de réponse. Pas un sarcasme de son père ni une excuse de sa mère. Une lumière aveuglante l’aveugla pendant un quart de seconde. Il avait peur. Peur que tout recommence comme la dernière fois. Il ne voulait pas la voir. Une goutte de sueur perla le long de son front. Il se voyait avancer, mais aussi rester sur place. Plus solide qu’un roc, il voyait pourtant les murs défiler. Au détour de la salle à manger, il aperçut son père, agenouillé dans une marre rougeâtre. Il se penchait vers un corps sans vie, semblait y déposer un baiser avant de se relever péniblement. Un bruit de métal se fit entendre et Elliot vit un couteau de cuisine tomber, maculé de sang.

Ce fut un bruit sourd qui le réveilla cette fois-ci. Il était tombé à genoux et avait entrainé sa valise avec lui. Ses mains tremblaient encore alors qu’il les appuya sur le sol. Les larmes se mélangeaient à la sueur, troublant sa vision.

    Elliot – « Putain, mais c’est quoi ce bordel ?! » lança-t-il dans un murmure.


Il se releva avec difficulté et se dirigea vers la cuisine. Ses pas étaient lourds mais pourtant, il ne l’avait pas entendu arriver, bien trop absorbé dans son rituel macabre pour cela. Alors qu’il pensait que tout cela n’était que des hallucinations, Elliot se retrouva confronté à cette sinistre réalité mais ce n’était plus un de ses cauchemars. Le corps de sa mère gisait aux pieds de son meurtrier, tout ensanglanté, transpercé de part en part par un long couteau de cuisine. Elliot devint pâle, une envie de vomir lui saisit la gorge mais la rage l’occulta. Il voulait le tuer aussi, lui faire subir ce qu’elle avait subit. Le faire souffrir encore plus. Mais il savait qu’il ne pourrait pas. Il était trop chétif pour cela. A peine aurait-il sauté sur le dos de son père que ce dernier aurait tôt fait de le plaquer à terre et de lui faire rendre l’âme à son tour. A ce moment précis, il s’en moquait pas mal de crever. Mais après une courte réflexion, il sentit que ce n’était pas ce qu’elle aurait voulu. Il saisit deux des nombreuses bouteilles de vins et les abattit tour à tour sur le crâne dégarnit de son paternel qui tomba sur le sol, la bouche grande ouverte.

Tout se passa bien vite par la suite. Elliot appela la police, donna l’adresse mais resta anonyme. Il déclara avoir entendu des bruits étranges en passant dans la rue. Il avait repris sa valise et un autre sac de voyages pour emporter tout ce qu’il avait, autrement dit, pas grand-chose. Puis il s’était débrouillé en arrivant au Chemin de Traverse pour envoyer un hibou à son oncle qui vint le chercher le lendemain dans un hôtel miteux de Londres.

***


« Quatre ans ça peut paraître long. Enfin, ça le serait encore plus s’il n’y avait rien d’intéressant qui pourrait nous arriver. C’est ce que j’ai pensé au début. Je me suis dis que j’entrais ici pour apprendre la magie et que j’en ressortirais simplement. C’est ce que j’ai pensé oui. Pendant environ deux heures. Un problème fit son apparition. Au début, je ne pensais pas réellement que ça en serait un. Mais il s’est révélé plus fort et plus déterminé que moi. J’aurais du m’y attendre. Depuis que je l’avais vu en haut des escaliers et que je l’ai fixé durant un long moment, j’aurais dû me rendre compte qu’il m’observait. On m’en a parlé durant le dîner, je me suis simplement dis qu’il pensait me connaître et qu’il me dévisageait, espérant voir la réponse s’illuminer sur mon front. Oui, j’étais naïf en première année. Je le suis toujours d’ailleurs. Mais aujourd’hui, je suis au courant que je le suis, ce qui me donne un avantage. Du moins, je pense. »



Il l’attendait à la sortie de la salle, chaque mercredi. La première année, Elliot n’y avait pas prêter attention. Mais cette nouvelle habitude le frappa. Et c’est peu dire. Il le suivait sur le chemin de sa salle commune, suivit de sa cours de Serdaigle. Comme d’habitude, Elliot descendait dans le parc avant d’aller dîner. C’était là que ça se passait. Sous la fenêtre des toilettes des filles, où personne n’allait. On pourrait croire, dit comme ça, qu’il s’agit d’un quelconque rendez-vous amoureux. Mais c’était loin d’être le cas. Entre Laël et Elliot, ça a toujours été comme ça. Depuis le premier jour, le jeune bleu et argent c’est mit en tête de réduire sa vie à une tourmente paranoïaque. Et autant dire qu’il a réussit. Elliot, autrefois permanent joyeux et inconditionnel du rire, se retrouva bien vite timide, presque asocial. Changement de nature pour le jeune garçon qui se fait régulièrement martyriser par ce lâche de Serdaigle.

    Laël – « Et bien, et bien. Regardez qui nous avons là. Encore ce satané Elliot qui n’en fait qu’à sa tête et joue aux poètes maudits. »
    Elliot – « Fous moi la paix Oridor, tu commences à me gaver. Ca fait deux ans maintenant, tu veux pas te trouver quelqu’un d’autre ? »
    Laël – « Pas pour tout l’or du monde. Tu m’amuse Elliot. Tu ne cherches même pas à te défendre et j’aime ça. »


Le coup partit sans que Elliot ne s’en rende compte. Le poing du jeune homme s’enfonça dans l’estomac du garçon et n’en ressortit que pour aller frapper son visage. Elliot tomba rapidement à genoux, dans un bruit étouffé. Il passa ses bras autour de son ventre et grimaça sous la douleur. Il releva péniblement la tête et scruta l’horizon. Les acolytes du bleu et argent leur tournaient le dos, montant la garde histoire de prévenir leur leader de l’arrivée de quelqu’un. Laël continuait à le frapper, sans la moindre pitié. Le goût de son sang envahit la bouche d'Elliot lors du dernier coup. Il regarda son adversaire s’éloigner en ne manquant pas de glisser une remarque sur ce qui venait de passer à ses amis avant de partir en courant alors qu'Elliot se laissa doucement tomber sur le côté, profitant de la fraîcheur de l’herbe contre son visage.


Tous les deux allongés dans l’herbe, leurs têtes côte à côte mais leurs corps à l’opposé, il se sentait bien. Il se sentait même mieux que lorsqu’il rentrait chez son oncle pour les vacances d’été. Celui qui a osé dire qu’une amitié entre un garçon et une fille n’était pas possible, n’avait jamais vu ces deux-là. Elliot sans Velvet, c’est un peu comme un briquet sans gaz ou une rose sans épine. C’était sa meilleure amie et elle lui rendait bien. Ses cheveux blonds s’emmêlaient aux cheveux bruns du jeune homme qui pouvait passer des heures entières allongé là à respirer son odeur qu’il trouvait la plus merveilleuse du monde. Elle lui rappelait un peu sa mère par moment, surtout lorsqu’elle haussait le ton contre lui après qu’il ait embêtée et décoiffée. Il lui parlait de tout et elle faisait de même, ils n’avaient aucun tabou et s’aimaient malgré tout. Y compris malgré les cauchemars qu’il lui racontait depuis quelques semaines, dans lesquels il la voyait mourir. Elle prenait tout avec philosophie et son éternel sourire lumineux continuellement accroché à ses lèvres rosées.
Et puis, un mois de septembre, elle n’était pas revenue. On l’avait convoqué dans le bureau du directeur, le sachant proche de la demoiselle. On lui avait dit qu’elle avait déménagé, qu’elle était maintenant scolarisée dans une autre école. Mais Elliot savait la véritable raison de son absence. C’était encore cette histoire de vision. Tout comme il avait vu sa mère mourir quelques mois en avance, il avait vu Velvet commettre l’irréparable. Il se leva lentement de la chaise où il était resté immobile et s’avança vers la porte, sentant comme un courant d’air traverser cette nouvelle partie vide de son être.

« Elle a sauté pas vrai ? D’une fenêtre bleue de sa maison de campagne… » lança-t-il plus calme que jamais.

Le père de Velvet, qui n’avait pas pipé un mot depuis le début, le rattrapa dans le couloir et attendit qu’un groupe d’élèves les dépasse.

« Comment tu sais ça ? Je n’en ai parlé à personne… » le questionna-t-il.
« Je le sais, c’est tout. » répondit Elliot en se dégageant de l’emprise de l’homme.
« Elle m’en a parlé Elliot. Je sais ce que tu peux faire… » tenta-t-il, voulant le rassurer.
« Je ne fais rien. Je n’ai rien demandé. JE N’AI JAMAIS DEMANDE DE VOIR LES GENS QUE J’AIME MOURIR ! » cria-t-il avant de partir en courant.

Les larmes commencèrent à couler lorsqu’il franchit les grandes portes qui donnaient sur le parc. Il retourna sous l’arbre où ils avaient l’habitude de se retrouver et se laissa tomber à genoux.

✐ « I'M SO GLAD TO MEET YOU »

TON PSEUDO Poulet.
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D'OU TU VIENS ETRANGER ? de ton c** ...
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PRESENCE Quotidienne :D
QUELQUE CHOSE A DIRE AVANT DE MOURIR RP ? euuuuuuh ...

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Dernière édition par Elliot A. McQueen le Dim 20 Mar - 23:54, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 11 Mar - 22:33

bienvenue sur le forum written in the stars -- elliot McQUEEN 906822 le code est bon. par contre c'est qui la célébrité sur ton avatar. comment ça je suis inculte ? written in the stars -- elliot McQUEEN 106587
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Elliot A. McQueen
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 11 Mar - 22:39

    ouaaah j'avais sauté la phrase >.<

    Louis Tomlinson , membre de OneDirection , boysband du XFactor britannique :D
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Desdémone B. Driskoll
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 11 Mar - 22:48

Bienvenue, petit minet. ♥️ (ah oui, clairement, c'est un minet : une guimaaaaaauve ! written in the stars -- elliot McQUEEN 906822 )
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 11 Mar - 23:07

    welcome <3
    bonne chance pour ta fiche ! written in the stars -- elliot McQUEEN 906822
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptySam 12 Mar - 17:22

Bienvenue la guimauve \o/
Si jamais tu as une question tu sais où nous trouver (;
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyVen 18 Mar - 22:29

Une semaine que ta fiche est commencée, des nouvelles ? written in the stars -- elliot McQUEEN 543922
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Elliot A. McQueen
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptySam 19 Mar - 0:00

    je suis désolééééééééééééééée T-T je me suis complètement laissée aller et j'ai pas vu la semaine passer ... promis de chez promis , je fini DIMANCHE :D
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Desdémone B. Driskoll
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptySam 19 Mar - 0:01

Pas de souci, je te faisais pleinement confiance. C'était pour la forme. (a) ♥
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MessageSujet: Re: written in the stars -- elliot McQUEEN   written in the stars -- elliot McQUEEN EmptyMar 22 Mar - 0:35

Tadaaam

Bienvenu à Serdaigle !


Tu es un jeune homme introverti et discret, blessé par ton passé peu reluisant et dérangé par tes visions souvent macabres. Connaitre les évènements à l'avance ne te plait pas forcément, mais tu n'en oublis pas pour autant ton avenir et te fais souvent remarquer par tes notes brillantes, niveau excellent que tu arrives à maintenir malgré les difficultés qui se mettent en travers de ton chemin, qu'importe les bourreaux qui te maltraitent et les murs recouverts d'épines que tu frôles dans les couloirs, tu n'en restes néanmoins pas brillant, comme le doit être un bon serdaigle.

Tu peux maintenant allez ouvrir une fiche de liens, RP, poser ta candidature aux équippes de quidditch ou cheerleading, sans oublier de voter pour apporter des votes à ta maison.

Si tu as des questions, les admins sont là ;) ! & amuses toi bien !
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